le Doctor Disco présente son Mix de Noël 2009, au sommaire : pubs ze clochettes, dormi dormirettes, pigeon de noël, grippe A, series B et vitamines C, 3615 papy noel...
à télécharger par ICI, et en diffusion sur Radio FMR pendant les fêtes
avec notamment dans le désordre:
Klaus Beyer, Bene Gesserit, Calexico, August Darnell, the Flirtations, Marvin Gaye, Hausmeister, Eartha Kitt, Christopher Komeda, Peggy Lee, Low, merry R2D2, Johnny Mercer with the Pied Pipers, the Moog Machine, Rank, the San Sebastian Strings, die Welttraumforcher, Akakage, Akim & Vann, Ray Anthony, Joe Berluck & Bescherung, quelques uns de mes classiques de Noël.
et une recette de pigeon de noël pour assurer autour de la table
jeudi 10 décembre 2009
samedi 3 octobre 2009
une redite avec Sacha
"... Le jour se lève, et j'ai très mal dormi.
Des images, des visages se bousculent dans ma tête,
Toute la nuit, comme une obsession,
J'ai entendu cette chanson..."
le Doctor Disco succombe à la mode du "re-edit", avec une version quick, re-edit, scratch and dirty du Bateau Blanc de Sacha Distel ...
Sacha Distel - le Bateau Blanc (el doctordisco 2009 longer re-edit)
Rien de tel qu'un morceau ridicule mais entrainant pour faire ses armes ; le Bateau Blanc est facile à découper, le talk-over d'un de nos chanteurs morts préférés si prête bien, juste la montée harmonique empêche de replacer des bouts de la fin du morceau au début, du coup ce n'est juste que du redécoupage local.
Pour info, ce re-edit est issu d'un rip de mauvaise qualité de mon 45tr original, ça craque et ça sature, et c'est très bien ainsi.
Tout bon gamin du sexe masculin de mon âge en a triturer les paroles dans le bus en revenant de la piscine, "viens je t'emmène sur le diva, braguette ouverte et c...", bref, il était tant d'en "tripoter" l'allure également.
L'Edit' ou 'Re-Edit', est une version minimale du "remix", où la personne qui ose collé son nom derrière l'oeuvre original en question se "contente" de redécouper (à la serpe ou non) un morceau paru de préférence il y a bien longtemps ; tout comme le faisait les éditeurs de l'époque à l'aide de leur magnéto à bandes (Revox B77 par exemple, que j'ai pu pratiqué pour le montage audio au début des années 90 à Radio Campus Strasbourg le temps de quelques émissions), armés d'une lame de rasoir et de scotch spécialement prévu pour sinon c'est un massacre (les bandes se décollent et tout est à refaire).
Tout le monde a entendu parler du "radio-edit", une version raccourcie d'une chanson originale de 3 à 4min, pour rentrer dans le format de "2min30 de bonheur" que l'on insère entre deux chroniques ou reportage à la radio ;
L'"edit" (ou re-edit aujourd'hui), vielle tradition initiée pendant les années disco, lui consistait plutôt à rallonger une chanson mais surtout à mettre en avant les parties rythmiques essentielles notamment pour secouer du popotin dans les blockparties ou les discothèques à papa. Le "re-edit" sous-entend qu'il s'agit d'une ré-édition d'un morceau qui fut déjà éditer dans le passé (d'où l'idée de rechercher des morceaux improbables ou délaissé) pour en re-faire les tubes d'aujourdhui, redécoupés avec les codes de la musique électronique d'aujourd'hui et d'hier (filtrage entendu et ré-entendu, écho synchronisé et pseudo morphing).
Bon aujourd'hui le montage est numérique, mois de scotch et de bandes qui se fripent, le bouclage est devenu un jeu d'enfant, mais toujours c'est toujours aussi jubilatoire.
quelques re-editeurs que je vous recommande : Todd Terje, Ashley Beedle, Mike Clark, Pilooski, Lee Dougles, les édits du Golems... de toute manière tout le monde s'y met (oui cet article c'est un peu de l'après garde) et ça court les audio-blogs.
Je vous conseille particulièrement AORDISCO qui se fait un plaisir de recenser les remixes et re-edits d'un style musical plus qu'has been, à savoir l'Adult Oriented Rock, rock pénible de la fin des années 70 ne savant plus quoi faire de leur instruments, coincés entre krautrock, country, psychedelisme, metal, rock californien et que sais-je encore, 'en gros, une grosse diarhée indigeste de l'amérique blanche' comme dirait monsieur Nounours. Le resultat, une fois re-édité et restructuré, peu être parfois une agréable surprise ; parfois même on y trouve des originaux, petites pépités très bien cachées, au milieu d'une discographie insipide.
Un petit exemple de ce que l'on peut faire avec un Revox (mais bon, c'est un peu extreme)
(un revox avec un autocollant de sabrina, moi je dis, ce gars à du talent)
le magnétophone à bande utilisé comme instrument avant le séquenceur et l'échantillonneur, ici pour le générique de Dr. Who, inventé par l'équipe de doux dingues du BBC Music Workshop, une sorte de GRM, peu être plus inspiré
un des éditeurs et re-éditeurs, à nouveau en vogue après une longue traversé du desert, Greg Wilson
tagos :
45tr,
disco re-edits,
doctor disco
vendredi 8 mai 2009
le derrière de la chambre du disco vert
Semaine dernière, le Canard Enchainé m'a annoncé la triste disparition de mamzelle Marilyn Chambers à 56 ans, la tornade charnelle de 'Derrière la Porte Verte', le film culte des frères Mitchell, qui en 1972 a fait rentrer le cinéma porno dans la 'culture de masse' outre-atlantique.
Un film sans grand intérêt en fait, si ce n'est quelques plans d'anthologie avec des ralentis psychédéliques sous des couleurs solarisées au possible, des cadrages marrants aussi, enfin tout ce qui nous en ferait presque oublier de quoi il s'agit vraiment. Et bien sûr tout cela sous des pseudos thèmes érotico pseudo-intellectuels qui furent bien loin de ce qui a tout de même fait son succès, à savoir le corps en sueur de la dite Marilyn ne dansant pas que le disco dans des bras experts. Certains ont vu dans ce film le premier 'Porno Chic', avec un vague scénario et quelques acteurs pas vraiment pires que ceux que l'on pouvait croiser dans toutes les séries Z de cette époque.
Bref Marilyn Ann Briggs de son vrai nom, était plutôt jolie, plutôt menue, très US disco style, un vague brin de voix et après quelques séries ZX qui ne la ramèneront jamais à nouveau au niveau de la porte verte, elle rencontra tout de même en 1976 le producteur Michael Zager (à qui l'on devra un peu plus tard le fameux tube international "Let's All Chant", mais aussi le très chouette "Meurtres en 3 Dimensions, Theme de Vendredi 13 (III)" ou encore Love Express). Un tour, de la persuasion, et puis s'en vont, avec peu être le flair de faire un gros coup commercial, le producteur et la nouvelle chanteuse à voix se sauvent aux Bahamas enregistrer un 45tr qui aura son petit succès, "Benihana, Little Flower" profitant un peu de l'odeur de souffre que dégage toujours le nom de l'actrice bien des années après l'âge d'or du porno, à une époque où le Video2000, VHS et autre Betamax vont bientôt achever les salles obscures et moites et le Silicone faire ressembler les actrices à des ballons dirigeables et les toisons pubiennes disparaitraient pour longtemps sauf peu être dans quelques films spécialisés allemands.
Fait étrange, ou pouvant être pris comme un vibrant hommage ou encore comme une recette de succès, "Benihana" a été repris un peu plus tard en 1979, de ce côté-çi de l'Atlantique, par une jeune arriviste qui a également "poussé" la chansonnette tout en faisant également chanter sur pellicule son corps aux mains de messieurs italiens bien avantagés par la nature. Cette jeune artiste hongroise au doux nom de Ilona Staller, pas encore connue sous le surnom de la Cicciolina, mais tout était déjà là, puisque en pleine campagne pour se faire élire pour la première fois sur la "Lista del Sole", le premier parti vert italien, bien plus sexy et convaincant que Brice Lalonde qui se présenta aux présidentielles de 81. Bref, sa version de "Benihana" est quasi identique à sa grande sœur américaine, dommage de la part de quelqu'un de si raffinée, mais on mettra cette négligence sous le compte la précipitation de l'organisation des élections de l'époque.
Pour toutes les personnes qui seraient intéressées par cette période où disco et porno firent bon ménage ou du moins firent Chambers commune (warf!), je ne saurai que trop vous conseiller l'excellent film 'Boogie Nights' de Paul Thomas Anderson (1998) consacré à cette période, qui suit la gloire et la décadence de la carrière de Dick Diggler dans le milieu du porno de la fin des années 70 aux USA, avec de plus une B.O. plutôt bien foutue. La scène d'intro vaut bien un Carwash avec un 'Best of my Love' des Emotions en fond, une Roller Girl aux petits oignons et surtout une Discothèque qui ressemble à quelque chose. La vision d'Anderson sur cette période est plutôt intéressante, mélange de grandeur, de proto bling-bling, de fascination et de décadence avant le début des années sida, le personnage du réalisateur est un des plus réussis. Une de mes scènes préférées étant lorsque le héros Dick Diggler sentant le vent tourné, s'essaye à devenir chanteur de Hard FM, chose pour laquelle il n'est pas pour une fois bien taillé, la séance de chant en studio avec sa nouvelle coupe de cheveux vaut son pesant d'or.
Porno et Disco, au fond des carrières très proches, toutes deux disparues après des débauches de frics et de grand n'importe quoi, puis remplacés sans classe par des Gonzo et autres Dance.
et donc une bise à la Little Flower Chambers, et voilà une porte verte de tournée.
samedi 21 février 2009
discollywood
Pour faire dans le peu original et suite à une séance hier soir de cinéma anglo-bollywoodien aka le Slumdog Millionnaire de Danny Boyle, film plutôt sympathique, plein de bons sentiments et riche en couleur, avec une vision pour une fois pas trop idyllique de la société indienne ; un petit article pour sortir le disco du ghetto américano-européen et rendre hommage à l'enthousiasme indien pour les chorégraphies mutantes entre tradition et imagerie occidentale revisitée à leur sauce chutney.
Par contre pour les amoureux des vrais films bollywoodiens, je vous préviens, il n'y a qu'une et unique chanson, ce qui est par essence une hérésie, et encore plus quand c'est à la fin, le héros n'a même pas la moustache, de plus il fait moins de 3h30. Donc un format un peu revisité à l'occidental tout de même. Mais, j'avoue bien filmé.
Du coup ça m'a donné envie de revibrer ce matin au son du fabuleux Disco Dancer ce matin, à savoir le Saturday Night Fever indien, avec une musique de Bappi Lahiri, le roi du Discollywood, une tuerie absolue, avec le morceau titre 'Disco Dancer' qui dure 7'30", mais on s'en lasse pas. Si vous voulez devenir immédiatement fan de ce compositeur, allez faire un tour du côté de Bappidisco chaudement recommander par monsieur Cartilage, des petites merveilles à foison.
Je vous renvoie à cet article, pour tenter de comprendre l'intrigue interminable et absolument sans intérêt ... mais bon je dirai, comme tout bon spectacteur indien qui se réspecte, "on s'en fout du moment que ça danse".
Mithun Chakraborty, Jimmy le héros de ce film, a notamment trop la classe, et danse comme un "dieu" indien à 6 bras gauches. Ce film lui a permis de devenir une méga-star... en inde, et nul part ailleurs.
On doit également à ce film, ce petit bijou electronico-minimal indien, Jimmy Adja, interprétée par l'héroine, qui elle danse nettement mieux, mais Jimmy est très méchant avec elle, à tel point qu'il se reçoit des savates de la part du public (enfin un peu d'action).
Ce tube a inspiré et sans doute bercé la chanteuse M.I.A., a.k.a. miss Maya Arulpragasam, une des jeunes artistes pour "ados" qui ne me fait pas couper la radio, bien au contraire (étant fan de Diplo et Richard X, ses prodcuteurs, je ne suis pas super objectif, mais bon on s'éloigne du propos), qui en a d'ailleurs fait une version plutôt sympa, bien qu'un clip très conventionnel.
M.I.A. que l'on retrouve d'ailleurs sur cett même B.O. de Slumdog Millionnaire avec son tube Paper Planes, cultissisme du côté de chez l'ami Tonio, un excellent morceau produit par Diplo et basé/samplé sur le 'Straight to Hell' [1982] des Clash (excellent morceau également au demeurant, est très à part dans leur carrière, totalement perdu au milieu du très maintenant convenu Combat Rock). On y trouve aussi une autre version remixée, par DFA, plutôt conventionnelle par rapport à ce qu'ils savent faire en règle générale (fin de génie ou pause?).
Mais bon sang tout se recoupe !
Si vous voulez en savoir un peu plus sur la musique bollywoodienne, je vous conseille les coffrets Beginners Guide to Bollywood, notamment le 2ème qui consacré à la période des 70's... donc beaucoup de Discollywood au programme... disponible à la médiathèque municipale de pas loin de chez vous, ou ailleurs...
Sinon, quelques perles sont écoutables par ici
Allez zou, ne tardons plus ... musique & paillettes au patchouli !
Disco Dancer, l'original, le seul, le vrai, qui ne ressemble à rien mais quel groove !
Jimmy Adja, l'original
avec en cadeau, cette mythique scène d' International Disco Dancing contest ...
Jimmy Adja, le carton de M.I.A.
Plus Quelques Bijoux au Disco Curry.
tous amateurs et amatrices de Britney Spears reconnaitront comme un air de déjà entendu du côté de chez Toxic (tiens donc) avec ce titre de Lata Mangeshkar & S.P. Balasubrahmanyam appelé Tere Mere Beech Mein (extrait du film Ek Duuje Ke Liye)
disco indi carnavale
une très longtaine référence aux Buggles, sur la piste de Dance de Bombay
et une petite viellerie, proto indodisco mais qui danse que dalle (ultra-rare)
en fait, c'est comme un fil, on tire dessus et c'est des montagnes fushias de chansons et danses qui suivent... trop bons
et l'intégrale des chansons de Disco Dancer par ici
Disco Dancer, song 01
Disco Dancer, song 02
Disco Dancer, song 03
Disco Dancer, song 04
Disco Dancer, song 05
Disco Dancer, song 06
Disco Dancer, song 07
Disco Dancer, song 08
Disco Dancer, song 09
Disco Dancer, song 10
Disco Dancer, song 11
Par contre pour les amoureux des vrais films bollywoodiens, je vous préviens, il n'y a qu'une et unique chanson, ce qui est par essence une hérésie, et encore plus quand c'est à la fin, le héros n'a même pas la moustache, de plus il fait moins de 3h30. Donc un format un peu revisité à l'occidental tout de même. Mais, j'avoue bien filmé.
Du coup ça m'a donné envie de revibrer ce matin au son du fabuleux Disco Dancer ce matin, à savoir le Saturday Night Fever indien, avec une musique de Bappi Lahiri, le roi du Discollywood, une tuerie absolue, avec le morceau titre 'Disco Dancer' qui dure 7'30", mais on s'en lasse pas. Si vous voulez devenir immédiatement fan de ce compositeur, allez faire un tour du côté de Bappidisco chaudement recommander par monsieur Cartilage, des petites merveilles à foison.
Je vous renvoie à cet article, pour tenter de comprendre l'intrigue interminable et absolument sans intérêt ... mais bon je dirai, comme tout bon spectacteur indien qui se réspecte, "on s'en fout du moment que ça danse".
Mithun Chakraborty, Jimmy le héros de ce film, a notamment trop la classe, et danse comme un "dieu" indien à 6 bras gauches. Ce film lui a permis de devenir une méga-star... en inde, et nul part ailleurs.
On doit également à ce film, ce petit bijou electronico-minimal indien, Jimmy Adja, interprétée par l'héroine, qui elle danse nettement mieux, mais Jimmy est très méchant avec elle, à tel point qu'il se reçoit des savates de la part du public (enfin un peu d'action).
Ce tube a inspiré et sans doute bercé la chanteuse M.I.A., a.k.a. miss Maya Arulpragasam, une des jeunes artistes pour "ados" qui ne me fait pas couper la radio, bien au contraire (étant fan de Diplo et Richard X, ses prodcuteurs, je ne suis pas super objectif, mais bon on s'éloigne du propos), qui en a d'ailleurs fait une version plutôt sympa, bien qu'un clip très conventionnel.
M.I.A. que l'on retrouve d'ailleurs sur cett même B.O. de Slumdog Millionnaire avec son tube Paper Planes, cultissisme du côté de chez l'ami Tonio, un excellent morceau produit par Diplo et basé/samplé sur le 'Straight to Hell' [1982] des Clash (excellent morceau également au demeurant, est très à part dans leur carrière, totalement perdu au milieu du très maintenant convenu Combat Rock). On y trouve aussi une autre version remixée, par DFA, plutôt conventionnelle par rapport à ce qu'ils savent faire en règle générale (fin de génie ou pause?).
Mais bon sang tout se recoupe !
Si vous voulez en savoir un peu plus sur la musique bollywoodienne, je vous conseille les coffrets Beginners Guide to Bollywood, notamment le 2ème qui consacré à la période des 70's... donc beaucoup de Discollywood au programme... disponible à la médiathèque municipale de pas loin de chez vous, ou ailleurs...
Sinon, quelques perles sont écoutables par ici
Allez zou, ne tardons plus ... musique & paillettes au patchouli !
Disco Dancer, l'original, le seul, le vrai, qui ne ressemble à rien mais quel groove !
Jimmy Adja, l'original
avec en cadeau, cette mythique scène d' International Disco Dancing contest ...
Jimmy Adja, le carton de M.I.A.
Plus Quelques Bijoux au Disco Curry.
tous amateurs et amatrices de Britney Spears reconnaitront comme un air de déjà entendu du côté de chez Toxic (tiens donc) avec ce titre de Lata Mangeshkar & S.P. Balasubrahmanyam appelé Tere Mere Beech Mein (extrait du film Ek Duuje Ke Liye)
disco indi carnavale
une très longtaine référence aux Buggles, sur la piste de Dance de Bombay
et une petite viellerie, proto indodisco mais qui danse que dalle (ultra-rare)
en fait, c'est comme un fil, on tire dessus et c'est des montagnes fushias de chansons et danses qui suivent... trop bons
et l'intégrale des chansons de Disco Dancer par ici
Disco Dancer, song 01
Disco Dancer, song 02
Disco Dancer, song 03
Disco Dancer, song 04
Disco Dancer, song 05
Disco Dancer, song 06
Disco Dancer, song 07
Disco Dancer, song 08
Disco Dancer, song 09
Disco Dancer, song 10
Disco Dancer, song 11
tagos :
disco not disco,
disco over the world,
discollywood,
inde,
maestro tonio
mardi 17 février 2009
mistral brillant
Pour ce début d'année, et vous sortir de la torpeur des bons et ruisselants sentiments de la saint Valentin, un petit tour du côté de la Hollande pour un voyage disco folky space pop à l'aide d'un petit groupe avec un nom vaguement de chez nous, Mistral.
Un side project que l'on doit à Robbie van Leeuwen, guitariste psyche-moustache, père de l'interplanétaire tube Vénus, interprété alors en 1969 par son groupe non moins batave groupe Shocking Blue, bien avant qu'il se lance dans la production de ce duo plus spatio-baladoïde que vraiment disco.
Pochettes de 45trs sans doute plus proches de Pit & Rik que d'un vulgaire groupe de chevelus sortis d'un quelconque festival de hard-rock hollandais, Mistral est un faux duo composé d'une libellule et d'un papillon, d'une boite à rythme, quelques synthés pas chers et une bonne dose de mélancolie pseudo-spatiale ; bref je suis fan malgré le peu de succès rencontré, ailleurs qu'aux Pays-Bas. Jamie & Neon City font partis des titres communément trouvés dans les coffrets de CD à pas cher du type 7'' hits in Holland in 1978.
Sinon avec un peu de chance, vous les trouverez comme moi du côté des disquaires qui ont encore un rayon 45trs. Le morceau absolu étant sans nul doute Starship 109, une ballade flamenca de l'espace qui vous tirera par le bout du nez quelque soit le temps.
Et comme vous avez de la chance, leurs "clips", c'est que du bon, de l'espace, des insectes et des paillettes.
Jamie
mise à jour : Neon City (en haute resolution)
Starship 109
Un side project que l'on doit à Robbie van Leeuwen, guitariste psyche-moustache, père de l'interplanétaire tube Vénus, interprété alors en 1969 par son groupe non moins batave groupe Shocking Blue, bien avant qu'il se lance dans la production de ce duo plus spatio-baladoïde que vraiment disco.
Pochettes de 45trs sans doute plus proches de Pit & Rik que d'un vulgaire groupe de chevelus sortis d'un quelconque festival de hard-rock hollandais, Mistral est un faux duo composé d'une libellule et d'un papillon, d'une boite à rythme, quelques synthés pas chers et une bonne dose de mélancolie pseudo-spatiale ; bref je suis fan malgré le peu de succès rencontré, ailleurs qu'aux Pays-Bas. Jamie & Neon City font partis des titres communément trouvés dans les coffrets de CD à pas cher du type 7'' hits in Holland in 1978.
Sinon avec un peu de chance, vous les trouverez comme moi du côté des disquaires qui ont encore un rayon 45trs. Le morceau absolu étant sans nul doute Starship 109, une ballade flamenca de l'espace qui vous tirera par le bout du nez quelque soit le temps.
Et comme vous avez de la chance, leurs "clips", c'est que du bon, de l'espace, des insectes et des paillettes.
Jamie
mise à jour : Neon City (en haute resolution)
Starship 109
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clips,
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folky pop space,
hollande
samedi 20 décembre 2008
un maximix de noël pour 2008, danAngelChristmasDustMix
séculaire tradition oblige, voici un mix de noël à écouter du côté de soi, près de la cheminée ou de son meilleur radiateur. très peu de disco dans tout ça, me direz vous, mais voilà noël est pour le moins peu propice à se trémousser de longues heures sur la piste de danse, les dents du fond qui baignent et l'occasionnel sur-poids y étant sans doute pour beaucoup.
à télécharger par ICI
au menu des droïdes, des lutins, des actes olé-olé, des clochettes, quelques rennes, de l'angélisme, un nouveau né plus tout jeune et quelques gastros.
avec notamment dans le désordre, Burt Bacharach, Roland Bafius & Patch Pantsak, John Baker, Buschmusik, Chamberlain, Nat King Cole, Peggy Lee, Nancy Wilson, Corporal Blossom, Dr Kosmos, History of Unheard Music, Daniel Johnston, Langville, Shanw Lee, Meco & R2D2 & C6PO, Mona, Barbara Morgenstern, Nilsson, Osymyso, Christian Poulet, Raindolls, San Sebastian Strings, South Park Choir, SpVogg. Breitbarth, WhamX !, X Mas X & Yerzmyey, pour la plus part mes classiques de Noël.
bon c'est pas tout ça, migration familiale oblige, je me sauve sur mon traineau vers d'autres cieux. avec un peu de chance vous aurez droit à un morceau de disco gaélique à mon retour.
au passage je vous recommande fortement le mix de noël de l'ami Maestro Tonio. ces deux mix seront en diffusion sur radio FMR pendant les vacances.
et bah sinon beaucoup de neige dans vos têtes à toutes et tous
à télécharger par ICI
au menu des droïdes, des lutins, des actes olé-olé, des clochettes, quelques rennes, de l'angélisme, un nouveau né plus tout jeune et quelques gastros.
avec notamment dans le désordre, Burt Bacharach, Roland Bafius & Patch Pantsak, John Baker, Buschmusik, Chamberlain, Nat King Cole, Peggy Lee, Nancy Wilson, Corporal Blossom, Dr Kosmos, History of Unheard Music, Daniel Johnston, Langville, Shanw Lee, Meco & R2D2 & C6PO, Mona, Barbara Morgenstern, Nilsson, Osymyso, Christian Poulet, Raindolls, San Sebastian Strings, South Park Choir, SpVogg. Breitbarth, WhamX !, X Mas X & Yerzmyey, pour la plus part mes classiques de Noël.
bon c'est pas tout ça, migration familiale oblige, je me sauve sur mon traineau vers d'autres cieux. avec un peu de chance vous aurez droit à un morceau de disco gaélique à mon retour.
au passage je vous recommande fortement le mix de noël de l'ami Maestro Tonio. ces deux mix seront en diffusion sur radio FMR pendant les vacances.
et bah sinon beaucoup de neige dans vos têtes à toutes et tous
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